Ultratext

Application très simple qui permet de transformer n’importe quel texte en GIF. AD-DI-CTION par ici, impossible d’envoyer un texto autrement.

J’en ai créés pas loin d’une quinzaine aujourd’hui, que j’ai tous exportés, vers Whatsapp, par textos et par mail. Seul bémol, le transfert vers Facebook bugge un peu, mais se résout en enregistrant le gif dans les Vidéos de l’iPhone.

L’appli est jolie et fonctionnelle, droit au but, seul regret encore, uniquement dispo sur iOS pour l’instant.

Leak

Un peu moins léger, Leak est l’appli qui permet d’envoyer des mails anonymes…

L’email de votre destinataire, votre message et … roule ma poule la délation ! Attention toutefois, l’expéditeur envoie par ce mail son adresse IP qui ne sera, dixit l’équipe de Leak, pas diffusé sauf nécessité judiciaire…

Evidemment, gros travail du côté des mentions légales, ainsi que des Do’s et Dont’s relativement mises en avant ( “faut pas être méchant”, “faut pas envoyer des images pornos”, etc.)

On attend de voir ce que ça donne et pour l’instant…

Bonjour petit koala, caramel à la crème ou encore aventurier du pain perdu,

C’est l’été, c’est l’été, il est temps de lâcher ton ordi et d’aller te baigner !

Mais pour ne pas te laisser seul dans l’immensité des possibles, voici trois sites qui te permettront de passer ce moment difficile en douceur :

SI tu veux trouver une meuf marrante

Tel l’ami de Batman, Robin va devenir ton nouvel ailier. En effet, mix & match de Tinder, Robin est une application qui te permet de jouer avec tes contacts et avec des inconnus, avant de pouvoir étendre la conversation. Entre deux châteaux de sable avec ton petit cousin, un peu de fantaisie et simple comme un bisou sur la joue !

Le – : l’appli est tellement récente qu’elle est encore mal référencée et difficile à trouver, mais avec un peu de persévérance – et directement avec l’url, tu vas y arriver

Si tu veux déménager tranquille

Les meubles dont tu veux te débarrasser ? Il y a des gentils messieurs qui viennent les chercher chez toi et essaient de les vendre pour toi. Evidemment ils prennent la moitié du butin. Et au bout de soixante jours sans succès ils te les rendent. Mais quand même, bien pratique ce plan Move Loot 

Le – : il faut habiter à San Francisco…

De la musique et des jeux vidéos

Et pour finir, le petit blog d’un pote de potes de ta maman, plutôt pointu et pas mal fait, qui propose des sons indés et commente le graphisme des derniers jeux sortis. Très cool !

Bonnes vacances mon Bifidus, reviens en forme !

Aujourd’hui comme il pleut, que la France a perdu et que nique sa mère, un petit article vénère, OKEY ?

A San Francisco, dans la Silicon Valley de la web et du tech et du bizz, certains s’inquiètent du fait que de plus en plus d’entre-so called-preneurs se soient un peu trop librement inspirés du concept de growth hacking, c’est-à-dire, franchissent quelques bornes.

ReservationHop, par exemple, est une start-up qui revend des réservations au restaurant, pour $5 ou $10. Appelez votre restaurant préféré ? Il est plein. Sur ReservationHop ? Une possible table pour vous, avec un nom fake que l’on vous donnera une fois le payement validé. Et pour le restaurateur ? La certitude de se faire enfler bien profond si “M. John Doe” ne se présente pas car… ses tables n’auront pas été revendues !

Autre exemple de rageux, MonkeyParking qui propose aux automobilistes qui s’en vont de vendre aux enchères leur place, moyennant bien sûr une commission.

Le principe est à chaque fois le même, vendre un service qui jusqu’alors ne coûtait rien ou alors l’accès à des infrastructures publiques. Et ca peut continuer à se développer ! Après les tables de restaurants, les places de concert, les évènements gratuits mais à réserver, etc. Crevards, on vous dit !

Alors où est la limite ? Sans doute au fait d’apporter une réelle plus-value à la communauté, quitte à être un peu borderline au départ, façon Uber. 

J’espère que ce post ne vous donnera pas de mauvaises idées – ou appelez-moi, on partage !

Les superbes photos qu’on fait avec Instagram – filtre de lumière qui me fait ressembler à Tyra Banks – finalement, on les oublie assez vite, passées leurs 20 minutes de gloire sur Facebook.

Bien sûr, on peut les imprimer, avec des solutions telles que Prinstagram ou  Take It.

Mais grâce à notre super appli de la semaine, Fizzer, on peut désormais, hyper malin, les envoyer sous forme de carte postale. C’est ta mamie qui va être contente !

Le principe est simple : choisissez votre photo, le site s’occupe de l’envoi. Redoutable de simplicité.

Comment ça marche ?

Après une très belle campagne sur Ulule, Vincent et Baptiste, nos deux fondateurs, bientôt rejoints par Thibault, lancent jeudi 10 juillet l’application web  Fizzer.

Le principe est simple : tout passe par leur web app www.fizzer.fr et Vincent m’explique :

” Un smartphone et une connexion internet suffisent pour envoyer une carte, en moins d’une minute. Après avoir choisi une photo dans la galerie d’image de son téléphone, l’utilisateur ajoute son message, l’adresse du destinataire et le tour est joué ! A partir de 1,99€, affranchissement compris, la carte postale sera imprimée et envoyée dans les 48 heures au destinataire, quelque soit l’endroit d’où elle est envoyée. D’ailleurs, elle pourra même être envoyée à plusieurs destinataires, s’ils sont utilisateurs de l’application. Plus besoin d’acheter la carte et le timbre chez le buraliste, de se déplacer à la boîte postale la plus proche… votre smartphone suffit ! ”

Dans le pipe, une appli mobile qui devrait voir le jour bientôt. Et pour cet été, un gros tour des campings et des plages, de la Bretagne au Languedoc, pour faire connaître leur service.

Et le prix alors ?

2, 49€ à l’unité, 9,99€ les 5 cartes postales, sachant que les Français envoient en moyenne 7 cartes postales par personne et par an.

Et Vincent me précise ” le papier que nous avons choisi est magnifique, et même si ce n’est pas votre écriture, vous choisissez la police et une signature numérique”. De quoi satisfaire votre pépé correctement.

Dernier atout, vous pouvez relire indéfiniment vos cartes postales envoyées ou reçues via le site, puisque Fizzer s’occupe aussi de vos cartoline virtuelles. Du coup, en mode réseau social vous pouvez aussi liker, commenter, et échangez sur les cartes de vos amis.

La carte postale est morte, vive la carte postale !

Allez on va pas se mentir, l’année dernière au moment des vacances on vous a un peu sauvés de la panne – oui mais pas celle-là – avec notre appli de géolocalisation de stations essence GASOIL NOW.

Cette année, rebelote, mais encore plus ambitieux, une application qui permet de repérer TOUS* les distributeurs de billets dans LE MONDE ENTIER (ou presque, pour l’instant : Amérique du Nord, Europe occidentale, Terre du milieu et au-delà du Mur chez les sauvageons)

Oui, oui. Bangladesh ou Cap d’Agde, resto ou pot-de-vins, avouez qu’une telle appli ça peut servir non ?

CASH NOW

– plus de 1 000 000 de distributeurs référencés ! (Y’a six zéros ça fait un million ! ) ( Un million !!)

– on a même mis les DAB Bitcoins #yolo

– paramètrez vos banques préférées

– et toujours gratuit et sans inscription  !

Et comme Kiko nous dit souvent : ” avec Cash Now, fini de jouer à cache-cash ! ”

Disponible sur Windows Phone en exclusivité parce qu’on les aime bien

Dans quelques semaines sur iOS et Android parce qu’on les aime bien aussi.

Bisous et enjoy !

* je te raconte pas le taff pour assembler la base de données – du sang et de la sueur. Du coup, notre appli est participative, vous pouvez nous aider à repérer les manques ou les erreurs, un grand merci à vous, et aussi pour les mots doux. Cœur avec les doigts !

Aujourd’hui on a aimé…

1. Notifyr

Une application qui vous permet de recevoir les notifications de votre smartphone sur votre ordinateur, grâce à la technologie Bluetooth Low Energy. Simple et efficace mais surtout, développée par un Hollandais de 17 ans !

2. Twog

Bien connu mais quand même, Twog est le site qui rassemble les twitts les plus drôles passés sur la toile. Une bonne rigolade en cette période de Coupe du Monde.

3. Et puis aussi, la stupidité économique expliquée par le foot

Dans sa newsletter du jour, Time to sign off nous explique :

” En prenant l’exemple des penalty, le Business Insider nous explique l’irrationalité des décisions de politique économique. Assez génial.

Dans les compétitions de 1ère division, un tireur de penalty a 75% de chances de marquer un but. Bien, mais peut mieux faire.

Comment ? Si, au lieu de tirer sur les côtés, il vise au centre. Les statistiques sont formelles : le goal va plonger à 57% du côté opposé au pied avec lequel le tireur shoote, à 41% du même côté… et ne restera au centre que dans 2% des cas. Or, 83% des penalty sont tirés, non pas au centre, mais vers un des deux côtés du but ! Dingue, non ?

Pourquoi ? Parce que ne pas faire comme les autres équivaut à prendre un risque personnel énorme. Vous tirez selon les règles (vers les côtés) et votre but est arrêté : on ne vous reprochera pas grand chose. Vous tirez de manière hétérodoxe (au centre) et vous ne marquez pas : on ne vous pardonnera jamais !

Résultat ? Vous choisissez ce qui minimise les risques pour vous, en sachant parfaitement que la décision maximisant l’intérêt général (les chances de victoire de l’équipe) est différente de celle que vous prenez. On a rarement vu une explication aussi limpide des décisions de politique économique en France depuis 30 ans. “

Bien vu !

Elle s’appelle Yo, et elle sert à quoi ? A envoyer des Yo à vos amis.

Fin de l’histoire, bonne journée.

Sauf que

La banane a quand même rapporté 1,2 millions de promesses de financements alors qu’elle n’a nécessité que … 8 heures de développement pour son créateur.

Du coup chez 03 July on est en train de réfléchir à un repositionnement : une appli qui permettrait de s’envoyer des “ouaich” par exemple, ca vous tente ?

#venere #yo

On l’a appris il y a quelques jours via Techcrunch, il semblerait qu’Apple ait décidé de prendre à bras le corps le problème des fausses appréciations d’applis dans l’Apple Store.

Quel est le problème ?

Le problème est que les avis des utilisateurs (“Voulez-vous noter cette appli?”) ont une importance dans l’algorithme qui calcule le Top des applis de l’Apple Store. Et ce même top entraîne lui aussi de nouveaux téléchargements du fait de la meilleure visibilité, qui génère à son tour de nouveaux avis. Autant dire qu’une appli bien notée sera davantage téléchargée et que de nouveaux téléchargements lui permettront d’améliorer sa position dans le top. Un cercle vertueux !

Du coup, on a vu apparaître depuis longtemps des pratiques d’achats de reviews. Exemple :une appli sortie la veille qui a déjà plusieurs milliers de téléchargements.

Et d’ailleurs, on se souvient tous assez bien de l’affaire Flappy Bird 

Comment Apple va y remédier 

Jusqu’à maintenant, il semble qu’Apple se contentait d’écarter les fake commentaires.

Mais le 10 juin dernier, notre confrère  Ouriel Ohayon a mis en évidence la curieuse disparition de plus de 20 000 commentaires attribués à une non moins obscure appli de typo.

En gros, soit c’est un bug, soit cette disparition est de l’intervention d’Apple.

Hum, hum, comme dit Ouriel.

Comment Apple se rend-t-il compte des fraudes ?

C’est Steve Jobs dans l’oreillette

Probablement par hasard, ou par alerte lancée par les utilisateurs, car on imagine impossible de suivre l’évolution du nombre de commentaires postés sur chaque page de l’App store.

Quoiqu’il en soit, c’est une excellente nouvelle pour nous autres développeurs, de savoir que nos applications, bien que noyées dans l’énorme volume de lancements quotidiens, sont évaluées sur leur qualité uniquement.

(Et on est bien contents d’avoir été sélectionnés plusieurs fois pour les Best Of de l’année 2013 par exemple)

Plus fort que Minus et Cortex, encore une enquête résolue du Professeur Kiko !

Encore une news Apple cette semaine mais il faut dire que la marque à la pomme nous fascine (et inspire).

De quoi s’agit-il ?

Mercredi 28 mai, Apple a annoncé qu’il rachetait les casques audios Beats – que l’on voit partout, pour la modique somme de, wait for it, 3 milliards de dollars. Oui c’est beaucoup, même si ne représente qu’1/3 de mon salaire annuel.

3 milliards, c’est du jamais vu, même pour Apple. On se souvient qu’en 1997 (mon année de naissance), elle avait fait l’acquisition de Next, pour déjà 400 millions.

Alors qu’est-ce qu’il se joue ici ?

1. Achat d’un design

Beats, c’est la marque de Jimmy Iovine et de Dr. Dre, rien que ça. Mais surtout, elle se caractérise par un design haut de gamme et des prix compris entre 200 et 300 euros pour un casque. Apple se reconnait dans ce positionnement exclusif, d’autant que les casques Beats ne sont pas connus comme des produits de la meilleure qualité qu’il soit… Phénomène de mode ? Apple s’achète en tous cas une bonne dose de swag

2. Achat d’une marque 

Autre aspect étonnant, Tim Cook a laissé entendre que la marque Beats ne serait pas happé par le système Apple, mais que les produits seraient vendus sous une sorte de co-branding. Une première pour Apple, qui montre encore la proximité des deux marques en terme de vision marketing

3. Achat d’une équipe et de compétences innovation

Surtout, on peut imaginer qu’Apple s’approprie, par ce rachat les compétences d’innovation de la talentueuse équipe de Beats. Un moyen efficace de redonner d’une souffle à l’esprit Apple, dont on attend désormais le prochain buzz post- iPhone, iPod, iPad.

Mais plus fort encore, l’hypothèse que l’on peut poser face à ce curieux rachat est la suivante : avec Beats, Apple serait dans la continuité de sa stratégie de diversification, entamé comme annoncé lundi dernier avec les secteurs et de la domotique (HomeKit) et de la santé (Health).

Alors que la majeure partie des accessoires sont vendus en boutique Apple, peut-on imaginer bientôt se vêtir de produits Apple/Beats ?

Affaire à suivre…

C’est bien connu, les hommes adorent le ménage* et justement, la start-up que nous vous proposons cette semaine a pour but de leur vendre des cours de ménage, des séances de ménage, des… Non.

The Bike Washer

Bien plus prometteur que ça, The Bike Washer est une start-up qui vous propose de nettoyer votre moto ou votre scooter, en envoyant le Washer à l’endroit où est garé votre engin.

Vous comprenez ? Plus besoin d’emmener votre machine au garagiste (voleur*) , c’est le garage qui vient à vous !

Comment ?

Et bien en fait, The Bike Washer c’est une appli ! En trois étapes, vous

1. donnez la localisation de votre scooter – adresse, modèle, plaque d’immatriculation

2. Vous choisissez votre tranche horaire

3. Vous payez via l’appli

Simple, efficace, comme sur des roulettes ! Brillance, lustrage, finissage, nul doute qu’après son shampoing, votre bécane aura retrouvé le poil brillant des premiers jours ! (Et si ca se trouve, en descendant de votre bureau, y’aura une bonita allongée dessus !*)

Bon alors en vrai, moi je n’ai pas testé (j’ai un chauffeur) mais on aime beaucoup, beaucoup l’idée de l’appli de géolocalisation qui décentralise les services. Ca vous rappelle quelque chose ?

Et aussi, leur site est cool, ton agréable, avec une faq bien complète et un service joignable.

Qui est derrière The Bike Washer?

Et bien, sans doute un motard, ou plutôt trois pour être exacte, Parisiens et malins, et sélectionnés hier pour parler devant Gilles Babinet lors de la 5ème Démo Day de l’Accélérateur. 

Bien joué et bonne route !

* il y a deux, trois clichés dans cet article, sauras-tu les retrouver ?