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Zenclock et Suivissimo, les applications à attraper rapido !

Aujourd’hui on vous fait découvrir les deux applications de Nicolas Jouannem, un développeur de talent !

Suivissimo

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Il s’agit très simplement d’une appli qui vous permet de faire le suivi en temps réel de vos colis, en attente de réception ou envoyés.

En 2009, quand Nicolas a l’idée de cette application, c’est surtout parce-que le site mobile de la Poste est assez peu user-friendly : il faut plusieurs minutes avant d’accéder à l’information, pourtant simple, de l’état d’avancement de la livraison et il faut remplir le numéro de suivi à chaque utilisation du site.

Alors comme il est lui-même développeur et un brin aventureux, il se fixe pour défi de sortir cette appli.

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Les blogueurs sont conquis, la presse spécialisée relaie la sortie, c’est un joli succès. Comme Nicolas me l’explique, la communauté d’utilisateurs se regroupent autour  de particuliers qui utilisent l’application de temps en temps et de nombreux vendeurs Ebay, souvent semi-pros, qui ouvrent l’appli plusieurs dizaines de fois par jour. Suivi de jusqu’à 200 colis à la fois pour certains !

Autre pic constaté, durant les fêtes, où Suivissimo permet un gain de temps réel.

Côté design, le développeur a cherché à privilégier la simplicité, avec une interface immédiate qui vous indique tout de suite l’état de la livraison.

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Aujourd’hui en version 1.9, l’appli est régulièrement mise à jour, avec notamment l’intégration d’un scanner de code-barre du colis bien pratique ! Surtout, l’application supporte iCloud pour synchroniser vos suivis entre plusieurs appareils, et elle est universelle, pour checker vos envois depuis votre iPad !

Pour la télécharger, cliquez ici

Zenclock

Encore plus simple, Zenclock est une application décorative, qui permet simplement d’afficher l’heure sur votre device mais en toutes lettres :image

Pour ne pas vous ennuyer, elle affiche aussi votre flux Twitter 🙂 Et universelle, évidemment !

(et en français > vous choisissez le mode d’affichage )

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Un peu de graphisme, un peu de code et le tour est joué ! L’horloge se met à jour toutes les cinq minutes, pour être sûre de ne pas vous stresser !

A télécharger ici

Vous pouvez suivre Nicolas sur Twitter @njouannem ou aller jeter un oeil sur son blog ! 

Un grand merci à toi !

Hungry Now au top dans le top !

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La semaine dernière sur l’Appstore, entre les applis Facebook Messenger, Instagram, Waze et devant les applis Deezer, Twitter, Ratp, Gmail, Spotify etc, il y avait : Hungry Now !

 

Pour la première fois, l’une de nos applications a atteint le top 50 global français ! Un record qui a immédiatement entraîné quelques milliers de téléchargement supplémentaires !

 

Bien évidemment, nous sommes aussi passés premiers de la catégorie Alimentation et Boisson juste devant les habituels leaders Marmiton et Macdo !

 

Nous sommes vraiment très heureux de cette perf, qui vient récompenser des mois de travail, petit à petit !

 (Depuis l’appli a légèrement rebaissé mais … on a conservé les screenshots que l’on regarde amoureusement 20 000 fois par jour !)

On sait aussi qu’un million d’apps existent dans le monde et que la moitié est à moins de 10 téléchargements par an ! 5% seulement des développeurs arrivent à entrer dans le top 100 global, notre prochain objectif !

 

Last but not least, Nokia va mettre en avant sur les supports média (print et web) Gasoil now.

 

On est donc très heureux, clap clap everyone, l’aventure 03 July continue !

Le T-commerce, la it-tendance à ne pas louper ?!

Cela ne vous a pas échappé, on parle de plus en plus de tablettes. Et par tablette on n’entend pas celle de Toutankhamon, à part peut-être dans Archéologie Magazine. Non, il s’agit bien ici de tablettes tactiles, de plus en plus en vue en e-commerce et l’occasion pour vous de se positionner en précurseur sur un marché prometteur.

Pour rappel :

> En 2013, on compte 3,5 millions d’utilisateurs de tablettes dont 85% de iPad.

> 29% ont déjà acheté via leur tablette.

> 71% des utilisateurs de tablettes ont déjà préparé un passage en magasin depuis leur tablette (recherche d’informations, comparaison de prix, etc.) ce qui accroit encore la réputation de « media du domicile » de la tablette, utilisée à la maison a contrario du Smartphone, display Internet préféré  quand on est en extérieur.

Mais surtout, le nombre d’acheteurs a progressé de 71% en un an environ !

Alors qui sont-ils, ces acheteurs via tablettes ?

– Plutôt des hommes, csp+

Qu’achètent-ils ?

– 20% de produits culturels

– 18% de services

– 13% de voyages (alors que le voyage est le premier produit acheté en e-commerce traditionnel ). Ce dernier chiffre montre qu’il y a bien une spécificité « tablettes » à prendre en compte.

Sur quels sites ?

– Amazon

– Ebay

– Fnac

– Cdiscount

– Ventes privées

Pour quelle stratégie ?

Fort de ces chiffres, il vous reste maintenant à décider : vaut-il mieux un site dédié, sur le modèle de la Fnac ou une application iPad, comme Ventes Privées ?

Et si nous chez 03 July, on fait plutôt des applications mobiles, cela ne nous empêche pas de nous demander quel sera le prochain X-commerce : peut-être le GG-commerce de Google Glass ?

Les réseaux sociaux part 2 : Pourquoi la Société Générale a choisi Twitter et pas Facebook ?

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Nous allons revenir sur un vieux débat, déjà couvert par tant de spécialiste ! Mais il est toujours bon de s’y repencher.

“Les réseaux sociaux permettent d’avoir un rapport différent avec nos clients …On laisse nos clients s’exprimer librement, la transparence est très importante …” – Meryl Job Fondatrice du www.videdressing.com

D’un point de vue “image” il est important d’avoir un espace à soi sur le net, qui reflète l’identité de son entreprise, que ce soit à travers un site et/ou une plateforme sociale, mais seulement pas à n’importe quel prix …

 

A – Le choix du réseau est essentiel 

Chaque R.S. ne se vaut pas, ils n’ont pas tous la même utilité et doivent être choisis avec soin. Plus vous êtes présent sur différentes plateformes, plus cela demande de travail pour fournir des contenus adaptés à chacune et de qualité.

“… Pour nous Twitter ne marche pas ! Nous postons nos articles au fur et à mesure, mais cela ne crée pas d’interactions avec nos lectrices… a contrario notre Instagram marche bien, nous postons toutes les conneries de la rédaction…” Fabrice Florent fondateur du Webzine Madmoizelle.fr

Ce n’est pas la quantité de réseaux auxquels vous êtes inscrit qui compte, mais plutôt la fréquence d’utilisation, la qualité du contenu que vous partagez et les interactions avec votre communauté. Il faut bien garder en tête que l’on ne parle ni de la même chose, ni de la même façon sur Twitter, Facebook ou Instagram.


B- Avant de vous lancer préparez-vous !!

Cela ne s’improvise pas, il est vraiment important de structurer en amont votre approche, sous forme de ligne éditoriale, puis d’un cahier des charges, de sorte à pouvoir anticiper un maximum, définir ce que vous voulez dire à votre communauté et que tout cela reflète vraiment l’âme de votre entreprise.

Enfin ceci vous permettra d’avoir une ligne directrice et surtout des repères à transmettre aux ou à la personne en charge de votre Community Management.

 

C- Les réseaux sociaux sont les services clients de demain

Je ne pense pas que Mark ou Jack (ouais et alors !!:D) avaient imaginé que leurs plateformes révolutionneraient tant la relation entreprise > particulier.

Entre 2011 et Q1 2013 nous sommes passés de 5 % à 60 % de réponses aux questions des clients sur les réseaux sociaux, seulement en parallèle le volume de question a lui aussi subi une croissance considérable et n’est pas prêt de s’arrêter.

Les flux de “relation client” ont très longtemps été mono-canal (courrier, téléphone, face2face éventuellement), il était donc assez simple pour les entreprises de maîtriser ce flux. Seulement aujourd’hui cela est devenu anarchique, le consommateur s’exprime dès qu’il le souhaite et de manière publique, ce qui oblige les entreprises si elles jouent le jeu des réseaux sociaux à s’imposer une certaine transparence.

Ils peuvent devenir un très bon canalisateur (front office), en filtrant les demandes des clients, en répondant aux questions simples et en transférant quand cela est nécessaire aux bons services.

Cependant si vous n’êtes pas prêt à assumer une critique publique et inscrite dans le marbre, n’y allez pas …


D- Les réseaux sociaux vous mettent à nu

Comme nous l’avons précédemment couvert, la contrepartie des réseaux sociaux est une transparence accrue. Cela passe par le fait d’humaniser la relation que vous entretenez avec vos clients et prospects.

Mais surtout humaniser votre entreprise, qui êtes vous ? Comment se passe la vie au sein de votre entreprise ? Et vos produits rendent-ils  les gens heureux ?

Sachez dire non à la mode, vous ne pouvez pas être partout à la fois et si vous pensez que c’est sans risque alors vous vous trompez. Les exemples sont nombreux, de sociétés qui ne sont pas sorties intactes d’un post ou d’un commentaire malheureux.

 

E- Conclusion

Alors pour répondre à la question de l’article, la Sogé a fait un choix sage, se concentrer sur Twitter pour délivrer du service. Le choix de se lancer sur Facebook obligerait la Sogé à créer un contenu nouveau et mettre à risque leur image en gérant des crises potentiels ce qui demande encore plus d’attention.

 

J’espère simplement que les quelques pistes vues à travers l’article vous permettront de mieux vous y retrouver dans ce monde impitoyable ; D

Il faut garder en tête, que ce que vous ne feriez pas dans le monde réel, eh bien dans le monde virtuel des réseaux sociaux c’est pareil, voir pire. Un appel ça s’oublie, un post sur Facebook lui peut rester à vie …

Vous ne pouvez plus fermer les yeux face à vos clients contents ou mécontents, il est temps d’assumer et de réagir ! Les réseaux sociaux vous en donne l’occasion, saisissez-là !

 

A vos commentaires ; )

Jonathan Ben Harroche – Consultant Webmarketing – Ben’Sons Associés

Notre nouvelle appli, GASOIL NOW, à télécharger d’urgence !!

Disponible pour iOS ici

Et pour Windows Phone ici 

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8 heures sur l’autoroute avant d’apercevoir la mer

Aller à l’hypermarché chercher du rosé

Faire le Sam jusqu’au Macumba Night

Emmener Marco au centre médical se faire retirer ses échardes d’oursin

Traquenarder Barbara pour un tour dans les dunes

 

Avez-vous pensé à tous ces trajets en voiture qui vont composer les moments mémorables de vos vacances cet été ?

 

Nous oui !

 

Et on est heureux, fiers et contents de vous présenter notre seconde appli (et deuxième d’une longue série),

 

******** GASOIL NOW *******

 

Sur le même principe qu’Hungry Now, découvrez une géolocalisation de stations-essences,

> où est la station service la plus proche ?

> où est la station service la moins chère et la plus proche ?

> où est le plein le moins cher ?

 

Application jolie ! Simple et efficace ! Gratuite ! et toujours sans pub ! 

 

Une application que l’on a pensé pour vous faire faire des économies, pour vous et vos proches.

Sans entrer dans les détails du processus de fabrication, sachez aussi que l’on a privilégié la qualité, en choisissant la base de données officielle de l’Etat, qui ne recense pas moins de 12 000 stations. 

Et bien sûr, notre priorité, faire de cette application un petit plaisir esthétique au quotidien !

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Disponible pour iOS ici

 

Et pour Windows Phone ici 

 

Aidez-nous en laissant une petite note et des étoiles … 

 

Un grand merci à tous, bonnes vacances !

La Société Générale twitte avec ses clients – les réseaux sociaux part.1

Vous avez certainement déjà lu pas mal d’articles sur le sujet, seulement l’objectif n’est pas tellement de couvrir la forme de la campagne (Ultra massive au demeurant (TV, SiteWeb, Email, message de fumée, etc.). Outre le message nous aussi on est “djeuns” à la Sogé, je retiens surtout le fait d’assumer publiquement que Twitter fait désormais partie intégrante de la stratégie de relation clientèle de la Sogé…

Pour rappel voici les supports de com :

http://youtu.be/yrydKRS9UWo  –  http://www.ideespourvous.fr

 

La question est : Est-ce une marque sagesse ? Je pense que OUI, même s’il est évident que Twitter ne compte pas la majorité des clients de la Sogé à ce jour, la campagne a tout de même permis de voir une croissance du nombre de Followers (9 000 > 14 000) (et de tweets bien sûr). Mais surtout de favoriser l’utilisation de Twitter pour les questions clients d’aujourd’hui, mais surtout ceux de demain.

Pour illustrer cela, une discussion que j’ai eue avec un conseiller Twitter


(ils sont cinq conseillers désormais),

Que doit-on retenir de cette expérience ? La 1ère chose est la qualité de service et le fait que je sorte satisfait de mon échange et avec le sourire, ce qui n’est pas négligeable.

Temps de réponse : Ultra rapide avec une promesse à moins de 30 minutes. En ce qui me concerne, il ne leur a fallu que 30 secondes pour me répondre. Période d’été plus creuse ou manque d’activité ?

Ton de l’échange : Positif, familier mais pas trop, utilisant les codes de Twitter

Informations délivrées : Le conseiller a répondu à toutes les questions que j’ai posées, voir plus, simple au demeurant mais complète

-Interaction avec les autres services : S’assure que l’information qu’il me communique est correcte en contactant l’agence > gros plus quand on sait combien les différents services d’une entreprise peuvent parfois être “hermétiques” les uns aux autres !

– Follow back : Pour nos prochains échanges la SG pourra m’envoyer des messages en MP ou éventuellement m’isoler si nécessaire, pour limiter les longs fils de discussion.

En conclusion rien de nouveau sous le soleil, un service client via Twitter, seulement l’assumer pleinement et essayer de l’élargir aux non utilisateurs de Twitter est une approche plutôt intéressante, surtout quand derrière le service suit. On va continuer à observer ça de près !

A vos commentaires ; )

Jonathan Ben Harroche – Consultant Webmarketing – Ben’Sons Associés

Le don d’ubiquité – UBQT

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Lundi soir dernier, j’étais tranquillement installé avec mon chien devant l’Amour est dans le Pré. J’aime bien cette émission ! Moi aussi j’aimerais trouver l’amour ! Mais bon, je ne suis pas agriculteur, seulement start-uper…

Décidé à trouver des acolytes solitaires, je me suis connecté sur Twitter où le hashtag #ADP battait son plein : tweet lolilol, commentaires sur les participants, RT de M6, etc.

J’aime bien le second-screen, ça donne du dynamisme à une émission de télé. Mais pour autant, quatre tweets sur cinq sont à jeter : mal écrits, redondants, on voit repasser les mêmes blagues souvent…

 **IDEE DE GENIE**

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Justement, Moktar Larbi, Florian Mascaro et Franck Birba se sont fait la même réflexion et après avoir révolutionné votre façon de regarder la télé (ils ont notamment participé au lancement de MYTF1connect), ils ont lancé une appli qui devrait bouleverser votre façon de participer à un festival et autre événement.

» Imaginez une application qui sélectionne pour vous les meilleurs tweets, les meilleurs articles, bref, tout le contenu associé à un événement. Grâce à un ingénieux algorithme calé sur les réseaux sociaux les plus populaires, cela donne UBQT (prononcer « ubiquity »), comme le don d’ubiquité, celui de pouvoir être à deux endroits en même temps…

Paul, au lieu de s’ennuyer sur Twitter à lire et relire les mêmes vannes sur son émission, aurait pu prendre connaissance en un instant du meilleur du contenu associé à l’Amour est dans le Pré : articles, photos facebook, etc.

Mieux, imaginez-vous fin août à Rock en Seine : dès à présent, UBQT vous propose un condensé de ce qu’il s’échange sur Internet à propos de l’événement – des photos que Phoenix poste sur son Instagram, les orgas et techniciens en train de monter les scènes, les statuts de tous ceux qui viennent d’acheter leurs billets, etc.

Au cœur de l’événement, vous saurez en temps réel ce qu’il se passe autour de vous : les concerts, les tweets, les articles dans la presse, les gens qui en parlent, etc.

Si vous tweetez habilement, vos meilleures punchlines seront donc aspirées pour faire partie du contenu associé à l’événement.

Et si comme Paul, vous êtes à ce moment là au fin fond du Cantal , UBQT vous permettra de croire, l’espace d’un instant, que vous aussi êtes à fond sur la pelouse ou même, plus loin, de savoir ce qu’il se passe au Burning Man ou à Coachella (l’algorithme sélectionne les évènements les plus populaires).

Et évidemment, dans la lignée de cette brillante idée qu’a eue notre trio, l’interface (actuellement en test) promet d’être à la hauteur, un petit bijou de fluidité, instinctive, user-oriented, pour profiter du meilleur de l’événement.

Hyperconnection, infos en temps réels, people attending, découverte, mélange de Flipboard et de Twitter, UBQT s’annonce donc comme très, très prometteuse, l’appli dont on aura vraisemblablement du mal à se passer dans les mois à venir !

 

Sortie prévue au mois d’octobre

Gratuite

Réinventons le Ecommerce 2/2

Suite et fin de mon article sur le colloque “Réinventons le ecommerce !”

Pour illustrer mon propos je trouvais intéressant de couvrir l’histoire de Richard Tocci Fondateur de la pompe-a-biere.com.

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Ce site créé en 2007 est devenu la référence de la vente de bière sur Internet.

Un démarrage très rapide avec peu de moyen, 14 000 €, et une faible confiance des banques et des fournisseurs.

Après des débuts un peu complexe (Photo des bières du frigo, plateforme logistique dans le garage de la maison, siège de la société dans la future chambre des enfants), la petite startup s’est imposée comme “référence” sur un marché avec peu de compétition sur Internet.

Après avoir passé le cap des deux années, elle emploie désormais six personnes et a totalement réintégré sa logistique, ce qui lui permet d’être flexible et d’optimiser au maximum les coûts de fonctionnement.  

Enfin pour répondre à la question de ce débat d’après Richard Tocci (fondateur du site), il est évident qu’il est aujourd’hui toujours possible de lancer un site ecommerce, preuve en est qu’il vient de lancer le site www.punch-et-cocktail.com et que le démarrage fût grâce à la grande expérience acquise ces dernières années un vrai succès. Cependant il précise bien que les règles du jeu ne sont plus les mêmes qu’il y a 6 ans et qu’il faut s’adapter.

Effectivement les règles ont changé, même si le choix du marché reste essentiel et que les marchés de niche semble offrir de très bon résultat, la génération de trafic et la fidélisation sont les sujets qui ont le plus évolués ces dernières années.

En conclusion :

De mon point de vue, je dirais qu’il est toujours possible de se lancer en Ecommerce, il est par contre nécessaire d’être conscient des enjeux qui se sont largement complexifiés ces dernières années, ce qui fait augmenter considérablement le ticket d’entrée (Env. 35-40K€) et demande donc d’être encore plus vigilant lors de la rédaction de votre business plan.

J’espère que vous aurez aimé ce premier article, n’hésitez pas à laisser des commentaires.

Jonathan

Ben’Sons Associés – Consultant Webmarketing

jbenharroche(arobase)gmail.com

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“Réinventons le Ecommerce !” Faut-il encore lancer un site de ecommerce ?

Bonjour à tous !

 

Je me présente, Jonathan Ben Harroche, consultant en Webmarketing, et on me donne la chance aujourd’hui d’intervenir sur le blog de 03 Julyapps pour échanger avec vous sur les sujets qui me passionnent Web et nouvelles technos !


Ce mercredi 3 juillet 2013,  j’ai participé à un colloque nommé “Réinventons le Ecommerce” (sexy non ?), organisé par Peggy André, blogeuse (www.ecommerce-girly.comwww.laccrodushopping.com) et e-commerçante (www.japean.com) émérite, qui a rassemblé un parterre de pointure pour échanger sur le futur du Ecommerce.


Les intervenants étaient les suivants :

Richard Tocci, fondateur de pompe-a-biere.com 

Benoit Gaillat, de Skeelbox,

Stéphane Jauffret, de Sellermania 

Marc Lolivier, de la FEVAD

Animé par François Ziserman, de  Target to sale

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La question qui a ouvert la séance était la suivante : “Faut il encore lancer un site de Ecommerce” ?


Cette question est plus que légitime, ce qui n’était pas le cas il y a cinq ou six ans et cela pour deux raisons majeures (Il y en a beaucoup d’autres mais essayons de nous concentrer sur les deux principales ;P) :

 

1- Il n’a jamais été aussi simple de créer un site Web (CMS simplifié, Open Source, Didactiel en pagaille, template de site ultra design à moins de 50 Euros, …)

2- Il n’a jamais été aussi difficile de générer du trafic (les coûts marketing sont de plus en plus élevés, les internautes toujours plus exigeants et demandeurs de contenu, les sciences liées au Web, SEO, Analytics, etc demandent de plus en plus de compétences de pointe).

 

Justement, l’enjeu de la génération de trafic est fondamental, internet s’est démocratisé, les retailers avec du retard sont arrivés avec des budgets conséquents et ont modifiés l’ecosystème marketing du web.

Je ne vais pas couvrir toutes les sources de trafics, mais me concentrer sur deux qui ont été abordées lors du colloque, le SEO (Search Engine Optimization) & les “Markets Places”.


Le SEO : L’une des source de trafic les plus importantes à ce jour, elle est le saint Graal de beaucoup d’ecommerçants avec un trafic pouvant atteindre 60-70% de votre trafic total.

La pratique du référencement est aujourd’hui une science, voire même un art, elle demande beaucoup de patience et de travail … et encore plus si vous décidez de vous lancer sur un marché hyper agressif comme le voyages ou l’assurance par exemple, il devient extrêmement périlleux et coûteux de se lancer.

Il devient donc indispensable de définir en amont une stratégie SEO très précise surtout si le marché choisi est déjà dense. Vous pouvez par exemple identifier des marchés de niche ou peu exploité à l’intérieur d’autres marchés et vous y concentrer. Dans un second temps, vous pourrez même tenter de détourner votre trafic de niche vers un marché plus généraliste.

Il est aussi très important de réfléchir sérieusement à son approche lorsque l’on décide d’élargir son offre pour passer du mono à un multi-produits. Le risque principal est de diluer l’identité de votre site et donc de complexifier la lecture de votre offre. Alors que créer un site à part avec sa propre identité et sa spécialité est certainement plus clair pour l’internaute.


Comme on a pu le voir le SEO est un enjeu important quant au futur lancement de votre site Ecommerce, il doit donc avoir une place essentiel dans votre business plan car il va influencer grandement votre investissement initial et votre stratégie.


Les “Market Place” :

Comme le SEM, la “market place” est un moyen de générer du trafic qualifié rapidement, il peut donc être un bon moyen d’évaluer un marché. Inventé par Ebay il est désormais proposé par de nombreuses plateformes tels que Cdiscount / Amazon / Rue du commerce / Pixmania.

Vous bénéficiez donc du trafic massif des sites existant tels que les 14 millions de visiteurs par mois sur Amazon, à un coût pouvant aller jusqu’à 15% de votre CA.


Ce qui est intéressant avec ce modèle est qu’il existe des marchands qui ne disposent que d’un espace dans une “Market Place” et qui n’ont jamais passé le pas du site Ecommerce, il réalise donc la totalité de leur CA (pouvant aller de 100K€ à 1 million d’€) via ce système.


La place de marché a aussi comme avantage de rassurer le client final, car la réputation des ces sites n’est plus à faire, il peut donc être intéressant de s’appuyer sur ce capital confiance qui est souvent un levier de transformation non-négligeable.


A en voilà une bonne solution !, allez-vous certainement me dire ! Mais attention car il y a de vraies limites !

La 1ère qui n’est pas des moindres est, à qui appartient le client ? A ce jour ce n’est pas clair, sauf pour Amazon qui écrit clairement être propriétaire de votre base client.

La 2ème est pas mal non plus, la “Market Place” est en droit de vous éjecter comme bon lui semble, non pas parce que cela ne marche pas, mais plutôt pour bénéficier de votre succès en référençant en direct vos produits. N’oubliez pas qu’ils maîtrisent 100% de votre Analytics.

La 3ème, comme pour votre site, les moteurs de recherche des “Market Place” sont sensibles à l’optimisation de votre contenus (descriptif produit, photo, …).


Le TIPS ! du spécialiste “Market Place” :

Si vous souhaitez lancer votre espace “Market Place”, il faut idéalement s’y mettre au lancement de votre site et en sortir une fois que votre site monte en référencement.

Pourquoi ? Car si vous décidez de monter une boutique en “Market Place” en cours de route vous risquez de perdre le bénéfice du SEO de votre site. N’oubliez pas que vous êtes en compétition avec Amazon, Ebay …


Enfin l’enjeu de la rentabilité !

Tout ça est bien beau, seulement on oublie trop souvent la rentabilité. Il n’est pas difficile de développer les ventes, il est difficile d’avoir un modèle économique solide.

Il faut donc bien évaluer en amont vos coûts (Logistique, stock, génération de trafic) et surtout concentrer beaucoup d’énergie dans la fidélisation de vos clients et l’exploitation de votre base donnée qui vous permet de rentabiliser vos coûts d’acquisitions.

….

La suite au prochain article !

Une petite revue de presse ! …

Des sites et blogs qui ont parlé d’Hungry Now! Curieusement, avec les beaux jours revenus, on a aussi vu une augmentation des téléchargements.

Plus de 150 000 Hungry Now se promènent dans le monde entier !

95 pays !

1500 reviews sur les Stores !

Un prix FWA remporté !

Et plus de 35 articles dans la presse web généraliste et spécialisée, dont quelques uns à l’étranger !

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Les spécialistes : Appsfire, Fubiz, windowsphone.fr.com, WP Central, Mon Windowsphone, Windowsgeneration, windowsphone-zone.fr, Nokians, Angrygadgets, Appromoter, Un simple geek, App circus, Technobb, iPhone astuces, Phone aréna, Steffi Rakotozafy, Star App, Appdata, Application iPhone, Appstv.com, Smartphone-co.com, Panda app, Appshoper, Mynokiablog, iosnoops, Brothersoft Microsoft, XYO.net, behance.net et Mevvy

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Et aussi Be Geek, Melty, Cosmopolitain.fr, Les Gourmands 2.0, Saveurs du net, et Paroles vaines.

Vous pouvez cliquer pour voir les articles, 

Merci à tous qui participez à l’aventure,

L’équipe 03 July