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La start-up du vendredi – Teezily, le tee shirt easy et bien plus encore !

——- à la fin de cet article, un concours où tu vas pouvoir gagner mucho mucho 

Tu as besoin d’argent ?

Tu veux financer une asso ?

Tu fais partie d’un gang de dealers ? d’une team de gamers ? d’un forum étudiant ? d’une troupe de danse ? Ou alors tu as des amis ?

Tu es un génie de la création et tu veux gagner de l’argent sans rien faire ?

De manière générale, parfois tu mets des vêtements ?

Alors n’hésite plus, ce qui suit va changer bien des choses. 

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Teezily c’est une idée qui part d’un constat simple : parfois, dans la vie, on a envie de lancer une collection de tee-shirts. Mais ceux qui ont déjà essayé savent combien c’est la galère :

– comparer les fournisseurs, qui ne sont pas intéressés par la quantité que tu leur proposes, et donc ne te font pas de cadeaux sur les prix ;

– avancer l’argent pour tous tes potes

– recevoir le colis, renvoyer les tee-shirts, en garder sur les bras, s’être trompé sur les tailles, …

– récupérer les chèques, les encaisser

= une tannée !

Alors que sur Teezily, tu crées ton tee shirt, hop hop, tu fixes un objectif de vente, Teezily te fixe un prix minimum de vente que tu respectes, ou pas (si tu veux faire de bénéfices tu vends tes tee shirts plus chers) et c’est parti ! Fais tourner le lien à ta communauté (tes amis, les membres de l’asso, etc.) et à eux d’aller sur Teezily acheter leur tee shirt !

exemple : Tu crées un tee-shirt “Ta meuf est un boudin” que tu prévoies de vendre à environ 30 personnes.

12,68€ c’est le prix minimum de ventes que te fixe Teezily. Toi tu décides de te faire des bénéfices et tu vends les tee-shirts 20€ – bénéfices 219€, que Teezily te reverse intégralement !

Ce que ça t’a coûté ? Une bonne idée et un réseau actif, c’est tout !

Et inutile de préciser que le site est beau, simple, intuitif ; que tu crées ton tee en trois clics et que tu choisis parmi plusieurs couleurs, typos, etc. Presque trop facile !

Qui a eu cette bonne idée ?

Créée il y a quelques mois par Charles Dilasser, rejoint par Maéva Marchais, Louis Ravel, Enzo Finidori et Maxime Dumez, Teezily (tee+easily) existe depuis quelques mois seulement mais cartonne déjà

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Le gros avantage, c’est que le minimum de commande est bas, et que si tu n’atteins pas ton objectif de vente, la production n’est pas lancée ! Aucun risque, ni pour toi, ni pour Teezily.

A ce jour, déjà 500 campagnes ont été lancées sur le site, dont la plupart, selon leur “potentiel” ont été passées en production.

Surtout, Teezily est conçu pour surfer sur les réseaux sociaux, tout est fait pour que le lien de ta vente de tee-shirt tourne très vite, de sorte que tu peux dépasser très rapidement tes objectifs de vente !

Des assos qui vendent des tee shirts pour financer un projet,

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Des copines qui se tapent une barre,

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Florence Foresti,

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Ton papa et ta maman, 

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tout le monde peut faire ses tee shirts, en mode crowdfunding !

Quel est ton rôle ici ?

Facile. Si tu penses avoir une bonne idée de punchline, crée ta campagne sur Teezily, relaie ton tee shirt sur les réseaux sociaux et avec un peu de chance, à toi la fortune !

Et d’ailleurs, même si tu dessines comme un enfant de trois ans, Teezily te file un coup de main grâce au service d’une graphiste qui travaille avec eux. Sympa !

—— cling, cling, le concours start-up ——

En deux mots, à partir du 19 mars et pour une dizaine de jours environ, Teezily reverse à la start-up qui vend le plus de tee-shirts, 75% des bénéfices des ventes des perdants. Oui, oui tu as bien lu, 75%

Donc si tu as une start-up, lance ta campagne et promeut autant que possible ton tee sur les réseaux, bonne chance !

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Les mots de l’éditeur d’applications mobiles #1

Hello les chéris,

plus d’un an que je travaille dans les applications mobiles et il m’arrive encore de tomber sur des acronymes dont j’ignore le sens. Alors aujourd’hui et comme chaque semaine sur le blog 03 July, une petite revue de connaissances. 

Quels sont les mots à connaître quand on veut se faire passer pour un éditeur d’applications mobiles ?

1. UX/UI : pour User-Expérience et User-Interface. C’est un terme qui fait explicitement référence à l’aspect Design de votre appli. L’expérience utilisateur doit être fluide, simple, évidente et agréable à regarder. Si vous voulez voir de belles applications, je vous recommande le site des FWA, résolument orienté design et qui promeut chaque jour l’appli du jour (» gagnée par Hungry Now en juin 2013 !)

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2. le SDK : pour Software Development Kit, le kit de développement du programmateur. En effet, pour développer une application, il est nécessaire de disposer non pas de un, mais de plusieurs programmes de développement. Pour iOS par exemple, le SDK vient avec Xcode, Interface Builder, et encore d’autres bidules. Pour devenir un maboule de la programmation, l’Université de Stanford a mis en ligne des séances issues de son cursus, que vous pouvez télécharger … sous la forme d’une application mobile !

3. APIs signifie Alcoolisation Ponctuelle Importante. C’est le vendredi soir. Et parfois même le jeudi ou les autres jours de la semaine.

Bon, en vrai, c’est ’ l’application programming interface’, qui sert de tableaux de bords pour développer l’appli en fonction des autres outils. 

(Quand ça clignote, faut cliquer)

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Pour ne pas vous achever lors de cette première session, on finit par deux mots plus faciles.

4. Freemium. Adj.Qual ; nom masc. ; se dit d’une application qui propose une version gratuite, avec publicité et une version payante, sans publicité. Elle est gratuite (free) mais aussi premium (mium), puisque la version upgradée peut proposer des fonctionnalités en plus. Beaucoup de jeux mobiles sont des Freemium, ce qui permet au développeur d’attirer des joueurs, mais aussi de se constituer un business model. Candy Crush Saga en est un parfait exemple. Pour en savoir plus, ici

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5. Notifications push. C’est une notification qui vous est envoyée par l’application mobile et qui arrive sur votre téléphone. Ce n’était pas évident ! Au départ Apple voulait garder la primauté de ces notifications à ses applications en native, mais finalement, les éditeurs ont fini par réussir à obtenir l’outil. Aujourd’hui cependant, ils sont dans l’obligation de vous demander l’autorisation, et vous pouvez désactiver ces notifications à tout moment.

Voilà, tu sais déjà pas mal de choses, tu vas ainsi pouvoir entamer ta trasnformation pour devenir développeur !

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L’appli du vendredi – Bobler, ça va buller !

Par chez nous, on est très attachés au média voix. Le saviez-vous ? Plus de 8 Français sur 10 écoutent la radio tous les jours, soit près de 43 millions de gens, le matin surtout, et dans leur voiture.

Et c’est vrai que c’est assez agréable ces gens qui te parlent, et délivrent un contenu auquel tu es souvent très réceptif.

Ce constat, Marc Antoine et Pierre l’ont fait progressivement, d’abord en lançant Bob Radio, le site qui aide les étudiants à réviser leur bac, grâce à des bulles sonores de deux minutes sur l’actualité, l’économie, la politique ou tous les textes d’épreuve de français. 

Mais ce qui nous intéresse aujourd’hui c’est leur dernier bébé, Bobler.

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Bobler, le Média Social Vocal

Bobler c’est à la fois un site et une appli qui permettent d’avoir accès à des bulles sonores d’une durée de deux minutes maximum, qui sont géolocalisées. 

Sur le site en particulier, l’expérience est très agréable. Après inscription vous accédez à une vaste carte où les autres utilisateurs ont déjà posté leurs bulles (les push pins jaunes)

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Cliquez sur l’une ou l’autre des bulles et vous aurez accès à des contenus très différents : Inès de la Fressange se promène rue Saint-Honoré et décrit ce qu’elle voit ; le Musée du Louvre nous parle de tel ou tel évènement ; un inconnu dépose une bulle pour un ami ou invite à le rejoindre dans un endroit précis, etc.

Comment trouver des bulles intéressantes ?

Vous pouvez déjà aller voir si des bulles ont été déposées autour de chez vous ;

Ensuite, trois boutons simples vous permettent d’avoir accès aux bulles “tendances”, celles qui ont été très souvent écoutées ou commentées ;

Vous pouvez aussi accéder aux bulles par catégories : gastronomie, humour, mode, histoire, etc.

Enfin, le “top” met en avant les contributeurs les plus intéressants.

Par exemple, penchez-vous sur les bulles de Nathalie The Parisian, La ptite Blan ou encore William Arlotti

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Mais dis moi, ça me fait penser à quelque chose ton truc ?

Bah oui ma belette, c’est exactement le principe de Twitter où de parfaits inconnus vont pouvoir s’exprimer au même titre qu’un homme politique ou qu’une institution.

Certaines bulles remontent, d’autres se perdent dans les limbes de la Toile…

Quelle impression ca fait ?

Comme Twitter donc, il y a de tout. Par exemple, tu peux entendre Nathalie Kosciusko Morizet te parler du problème des places de crèche dans le 9ème arrondissement de Paris. Et le fait d’entendre et bien plus impactant que de juste la lire, à mon avis. 

Certaines bulles sont sans intérêt, d’autres sont drôles et poétiques. 

Vu le succès de Twitter, on a un peu envie de parier sur Bobler…

J’aurais rêvé d’être un artiste !

Evidemment, toi aussi tu peux remplir le site de ta douce voix ! Timbre posé, débit fluide, raconte nous ce qu’il se passe autour de toi, fais passer un message ou récite quelques vers !

Et pour la suite ?

Le site devrait pas mal changer, notamment pour permettre d’envoyer des bulles en privé (tiens, tiens).

“Bobler, c’est l’appli où tu reçois un message vocal de ton meilleur pote, ou de Beyoncé”, me dit Sophie la responsable Communication. 

Bobler c’est aussi la start-up qui représente en ce moment la France au SXSW, un gros hub media qui se tient en ce moment à Austin. 

Avec déjà des dizaines de milliers de bulles enregistrées et une appli qui sort en version américaine dans quelques semaines, on parie sur le succès de Bobler !

A télécharger sur iOS ici et sous Android fin avril !

Accurate advertising – le placement de produits

Dimanche soir lors des Oscars, le record du plus grand nombre de RT ever a été atteint par ce selfie, posté par la très influente présentatrice télé américaine Ellen Degeneres. (Et elle a fait crasher twitter, no kidding)

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( 2,6 millions de RT hier après-midi).

Il devance en celà, le tweet d’Obama lors de sa réélection.

Hier dans l’après-midi, on a appris que ce selfie avait été “commandé” par Samsung à Ellen Degeneres, la marque coréenne lui ayant fourni pour l’occasion un Samsung Galaxy Note.

Autre objectif, ABC, le producteur de l’évènement devait poster 10 autres selfies sur son compte Twitter durant la soirée. 

Que ce soit Twitter ou Samsung, ces deux puissants annonceurs ont tout deux des programmes spéciaux VIP. Le “White Glove” de Samsung par exemple, est un programme très subtile qui vise à changer la perception de marques qu’ont les utilisateurs de smartphones de la marque Samsung. Discrètement, on met des Samasung Galaxy dans la main d’une poignée “d’influenceurs”, qui tout naturellement vont se servir, sous l’oeil des caméras, de leur nouveau téléphone. 

Et comment devient-on influenceur ?

La question à mille dolls, car la liste est tenue archi-secrète : stars du cinéma, sportifs, vedettes, comme le dit l’adage : “once you are on the list, you’ll know it ! “. 

Kev Adams est-il on the list ?

Le gourgandin a également pris un selfie lors des César  (nos Oscars à nous) avec Cécile de France, alors maîtresse de cérémonie avec … un Samsung ! (sur la deuxième photo) (et gentiment RT 1000 fois… )image

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Alors c’est ça du placement de produit ?

Oui, sauf que comme l’indique le CSA ici, le placement de produit dans une communication commerciale audiovisuelle à titre payante est interdit dans les programmes autre que fictions, vidéomusiques (clips) ou oeuvres cinématographiques. Donc aux César, ça ne passe pas. 

Conclusion 

Comme les autres tendances marketing (native advertising ou le géo-targeting), le placement de produit devrait se faire de plus en plus subtilement dans les années à venir. Là, clairement, le mobile a été prêté ou offert à Kev Adams.

Dans les mois à venir, gageons également que les contrats seront affinés et que les stars ne se précipiteront pas en coulisses pour récupérer leur iPhone (Ellen Degeneres) ou carrément pour poster depuis le device Apple le selfie en question (Kev Adams) …

Mahaut

Tu fais quoi ce soir dans un an ?

Bonjour bonjour,

Aujourd’hui vendredi on vous présente une petite appli, américaine from the States, et plutôt mignonne, j’ai nommé Timehop.

Timehop c’est quoi ?

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C’est une application qui vous permet de faire le point, puisqu’elle vous envoie chaque jour une petite notification pour vous dire ce que vous faisiez un, deux, ou trois ans avant, jour pour jour.

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(Coucou les années 1990)

Comment que ça marche ?

Timehop agrège les données renvoyées par une dizaine de réseaux sociaux ( Facebook, Twitter, Foursquare, Instagram, etc.) pour vous faire une synthèse souvent amusante, et qui permet de vous rappeler des évènements qui se sont passés dans votre vie il y a un an. Un peu comme le film “Retrospective” que Facebook proposait à ses utilisateurs pour son dixième anniversaire il y a quelques temps. 

User experience

Une appli simple et jolie, bien faite, facile à utiliser, qui a été lancée en 2011 lors du Hackathon de Foursquare. Au départ, Jonathan et Benny avaient d’autres poules sur le feu, mais devant le succès de Timehope, ils se sont consacrés exclusivement à ce projet, bien vite rejoindus par d’autres loustics (qui ont tous leur tête ici).

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Seul bémol, je l’ai trouvée un peu longue au lancement ( elle vous demande l’autorisation pour la connexion à vos différents comptes Twitter, Facebook, etc.) même si on en comprend l’utilité. 

Pour la petite histoire webmarketing…

Timehop c’est un bon exemple de la différence entre l’impact d’une notification par push et par mail. Au départ, le service envoyait chaque jour un email avec la synthèse attendue ; mais vers juillet 2013, ils ont switché vers des notifications push. Résultat, là où le service bénéficiait d’un qualitatif 40% d’ouverture d’email, il n’est passé plus qu’à 27% de clics sur ses notifications, sans compter qu’il a perdu tous les utilisateurs d’Android, l’utilisation n’étant disponible que sur iOS… Pour être moins intrusif peut-être, ou pour offrir un support monétisable ? Quoi qu’il en soit, certains utilisateurs s’en sont plaints.

Conclusion : se rapprocher de son audience quand il s’agit d’un changement majeur (livraison du service), dommage pour une sympathique petite appli !

Le Native Advertising c’est quoi ?

Le mardi chez 03 July, on s’occupe de ta culture web, numérique, et digitale. La semaine dernière, on a évoqué ensemble le geo-targeting, cette pratique qui consiste à pusher des offres locales sur le mobile de l’utilisateur.

Cette semaine, on continue dans le thème des mots en ing, avec cette tendance, le Native Advertising, qui buzze un peu depuis quelques temps.

C’est quoi le Native Advertising ?

C’est un mode de publicité très fortement axé sur le contenu, avec des messages ciblés liés au contexte, pour le bénéfice de l’utilisateur. On va vraiment mettre l’accent sur le contenu éditorial de la publicité, de sorte que le contenu publicitaire est presque confondu avec le contenu du site. 

Advertorial ou publi-reportage ?

En fait ton truc c’est juste une façon toujours plus subtile de caler de la publicité au milieu de l’expérience utilisateur ?

Oui, sauf que la publicité en natif propose un contenu souvent exclusif : une offre promo, une information pertinente, etc. 

En plus, le format de la bannière publicitaire est souvent construit sur mesure pour le site pour lequel il est fait, ce qui donne à la Native Ad un angle de tir plus précis que du Mass Ad déployé au bazooka.  

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L’utilisateur au centre

Encore et toujours, de façon à ce que le ROI soit maximisé pour l’annonceur. En fait, la Native Ad est pensée presque comme si c’est l’utilisateur lui-même qui l’avait construite : sur Twitter, des tweets sponsorisés, sur la page Facebook d’une marque, de la publicité ciblée, etc. L’idée, c’est que c’est l’annonceur qui connait le mieux son audience, et c’est donc lui qui est le plus à même de construire du contenu calibré pour impacter. 

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La cousine sexy

C’est un peu ça, une version rebrandée de ce qui a toujours existé. Même si le contenu sponsorisée doit clairement afficher sa nature, l’idée de la Native, c’est quand même de proposer une expérience des plus agréables : on pense par exemple aux formats des vidéos Youtube, toujours plus novateurs. 

Qui fait ça ?

Un peu tout le monde maintenant en fait, notamment les groupes médias. Il y a deux ans de cela, Forbes avait lancé une offre ( de 50 000 à 100 000 dollars tout de même ), pour proposer à ses annonceurs de venir directement intégrer leurs bannières, de la plus tradi à la plus innovante, dans son propre CMS construit pour l’occasion. Une initiative qui peut faire bondir les ventes d’espace jusqu’à 19% tout de même même si elle peut être controversé : quid en effet de la confusion entre avis du journaliste sur un produit, et publicité pour ledit produit accolé sur la même page ? Les détracteurs de cette pratique sont en effet gênés de la confusion et du manque de transparence qu’il peut y avoir entre un éditorial sponsorisé et un … advertorial 🙂

Donc en fait c’est pas nouveau ?

C’est vrai qu’il faudrait avoir passé du temps dans une grotte ces dernières années pour ne pas avoir repéré la spectaculaire évolution de l’univers du contenu monétisé : les annonceurs et éditeurs se creusent la tête en continu pour améliorer l’offre et le display de contenu pub. 

Gageons que les prochaines années nous apporteront également leur lot de nouveautés !

Pour lire sur le sujet, c’est ici, ici et

L’appli du vendredi – Gagne de l’argent easy avec Tcheck’it

Hello les chatons mouillés,

Aujourd’hui sur 03 July, on te propose une super appli, sortie il y a quelques mois seulement et qui va te plaire car elle te permet d’engranger facilement des piécettes, du biff, du flouze. 

Mais pas genre dix-huit centimes non, 5€, 10€ et jusqu’à 280€ pour le Tcheckeur le plus fou. 

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Drogue, trafic d’organes, c’est quoi ce plan ?

Rien de tout ça, Benoît, Alex et Karim, diplômés d’école de commerce et d’ingénieur et après avoir travaillé dans la grande distribution ont juste fait le constat suivant ; les marques n’ont JAMAIS assez d’informations sur leur produit : est-ce qu’il est bien placé en rayon, pourquoi les ventes de cette boutique ont baissé, est-ce que le stock a été livré, etc.

Pourquoi alors ne pas mettre les consommateurs à contribution en leur proposant des missions ARCHI simples (moins d’une minute, clac tu sors ton téléphone, clac tu réponds à deux, trois questions, clac tu valides, merci au revoir) qui permettraient aux marques d’avoir de l’information fraiche sur leurs linéaires ? Ca permet d’utiliser une “armée” de consom’acteurs, là où les commerciaux terrains ne peuvent être partout à la fois. 

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Et une photo de l’équipe – Benoît et Alex, Karim est absent de la photo car il est retenu dans une cave pour sortir plus vite la version Android

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Ta mission, si tu l’acceptes

Tu télécharges l’appli, tu regardes les missions proposées autour de toi, dans ton bureau de tabac ou ton Franprix habituel, tu vas photographier les Kinder Bueno, et bim le tour est joué.

De leur côté, nos amis valident tes photos, les envoient à la marque, et ton compte Tcheck’it est crédité en 48h. Quand tu as accumulé 10€ de mission, hop, virement sur ton compte bancaire perso ! C’est pas beau ça ?

Pourquoi c’est bien ?

Parce-que c’est comme un jeu, addictif et immédiat, et que c’est rémunéré. Parce-qu’Alex en charge du business development s’est fixé pour objectifs de proposer d’ici un mois des missions dans toute la France, couverture nationale, dans les commerces de proximité, stations-services, bureaux de tabac, etc. Parce-qu’il y a déjà 8000 Tcheckeurs qui courent partout récolter des 3€, 5€, 10€.

Parce-qu’il y a déjà eu plus de 900 missions qui te sont passées sous le nez !

Parce-que les marques adorent et se précipitent !

Parce-que Tcheck’it a déjà reversé plus de 3000€ à ses utilisateurs ! (et que bien sûr l’application est gratuite, ce sont les marques qui rémunèrent les missions)

Dépêche toi ! C’est la course aux missions, en moyenne elles sont acceptées en moins de 5 heures par les utilisateurs !

Tcheck’it, l’application qui vous rémunère. from Tcheck’it App on Vimeo.

Simple et efficace, chez 03 July on le voit, ce sont les idées les plus faciles qui ont souvent le plus de succès !

Disponible ici et très bientôt sur Android !

La pub sur mobile c’est quoi ? – le geo-targeting

Salut Fred, c’est Jamy ! 

Aujourd’hui c’est mardi, on va donc apprendre des trucsse poser des questions, regarder autour de nous et porter des bretelles de salopette, notre objectif étant, je vous le rappelle, de devenir maître du monde. 

Par exemple, on pourrait s’intéresser à ce concept de géo-localisation dont on entend pas mal parler depuis quelques temps déjà dans les sphères connectées #youknow

La publicité, c’est mal. Mais en fait quand on se plonge dans le monde des régies, des annonces, des publishers, du bidding, etc, on se retrouve  rapidement à manier des concepts assez complexes et à faire de la stratégie qui peut se révéler passionnante. 

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La publicité géolocalisée, c’est quoi ?

C’est l’idée que la publicité est localisée en fonction de l’endroit où vous passez. Du point de vue de l’annonceur – celui qui paie pour que l’on voit sa pub-, c’est assez intéressant. Prenez un restaurant par exemple, à l’heure du déjeuner, il peut avoir envie de pusher des annonces dans sa zone de chalandise, une façon plus susceptible de lui apporter des clients que de mettre des pubs sur Facebook qui vont se perdre dans le cyberespace, par exemple. 

( cyberespace, tellement années 1990 : )

C’est ça qu’on appelle le Mobile-to-Store ?

Oui, ou l’idée que la publicité sur mobile peut avoir vocation à générer du trafic pour votre commerce. L’intérêt de cette publicité est qu’elle est extrêmement pertinente en terme de granularité de consommateurs, autrement dit, de précision de la cible à laquelle elle s’adresse. Lors des périodes de soldes où la concurrence est accrue, user d’une stratégie marketing qualitative ciblée peut être excessivement lucrative, comme l’illustre l’exemple de cette publicité mobile Kfc qui a vu, 90 % des “cliqueurs” de l’annonce faire dans la foulée une commande en ligne sur le site du fast-food !

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Une stratégie SoLoMo

qui pourrait presque être un nouvel acronyme d’un quartier de New York, mais qui signifie en réalité Social, Local, Mobile ! Ou encore l’intention du marketing de devenir plus proche des consommateurs, dont la saturation en termes de message prévient de tout acte d’achat. On passe réellement d’une perspective one-to-all à one-to-one, ce qui améliore également la perception de marque, la dimension privilégiée, qualitative, etc. et in fine l’appréciation du client !

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( Et à ce moment là, Jean-Claude Dusse entre dans votre boutique)

Et en termes d’analyses de data ?

Un autre atout d’une communication mobile de ce type est la qualité des informations que l’on peut remonter : entre le taux de clics et le taux de transformation directe, vous savez exactement quel type de consommateur a été séduit, quasiment en temps réel. Retenez ce que l’on dit du smartphone : always on, always in !

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Si le sujet vous intéresse, une bonne infographie ici et un super article

L’appli du vendredi d’03 July – Weeleo !

Un article sur Frenchweb, un article sur Maddyness, cette semaine ça a buzzé pour Weeleo, notre appli du vendredi, toute juste disponible en store depuis lundi ! Il était bien normal qu’ils fassent alors un tour sur votre blog favori… 🙂

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Weeleo c’est quoi ?

Tout simplement (mais il fallait y penser) (et personne ne l’avait fait avant eux), un système simple et pratique d’échanges de devises entre particuliers.

Exemple : Vous partez à Londres le week-end prochain, et vous auriez bien besoin de quelques pounds d’avance, pour vous payer un taxi à l’arrivée par exemple. Certes, vous pourriez aller courir Boulevard Saint Michel dans un de ces bureaux de change craignos dont vous savez bien qu’il va vous prendre un bras et une jambe : taux de change, frais de commission, c’est tellement l’arnaque, personne n’y a jamais rien compris. 

Ou sinon, grâce à Weeleo, vous pourriez aussi vous mettre en relation avec Harry, sympathique British élevé à la jelly, qui lui aussi, pour une raison ou une autre, souhaite acquérir des euros.

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hashtag forevercoeurlove

Concrètement ça se passe comment ?

Vous créez un profil sur l’appli et vous postez votre offre : je recherche 100 pounds, par exemple, et vous proposez un lieu de rdv: le 25 février, à Paris 17ème ou à la gare St Pancras d’arrivée de l’Eurostar. 

Ensuite, l’appli vous propose les profils qui matchent le mieux à votre demande, d’utilisateurs qui ont une somme à échanger qui correspond plus ou moins à la votre, en fonction du taux de change du jour.

Le taux de change du jour mon potec’est le taux qui est affiché par le Forex, le marché mondial d’échanges des devises.

Et Weeleo ne prend pas de commission, donc c’est vraiment toi qui te mets d’accord avec Harry, en fonction du taux de change (” tu me les fais à combien d’euros tes 100 pounds ?”)

Ensuite, l’échange se fait en mains propres, c’est-à-dire avec des mains qui ont été lavées au savon. (obligééée)

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Pourquoi c’est bien ?

Parce que ça participe de ce mouvement d’économie collaborative dont font aussi partis les Air B’n’b et autres VTC. C’est-à-dire qu’on peut aussi faire des trucs entre particuliers (surtout en ce jour de Saint Valentin hin hin), sans forcément passer par la case intermédiaire-qui-augmente-l’addition.

Et que donc là, concrètement, tu vas rencontrer Harry. Un vrai Anglais. Peut-être même qu’il t’attendra à ton arrivée de l’Eurostar. Vous allez échanger vos argents respectifs et peut-être même que vous allez un peu discuter donc, en anglais oui, échanger les bons plans de la ville, ou le numéro de ta cousine. 

Mais c’est légal ?

Bah oui en fait. Ou plutôt personne n’a jamais dit que c’était interdit, de s’échanger de l’argent entre particuliers, d’autant que l’appli limite le montant des échanges à 2000€. Raphael me précise d’ailleurs que par prudence, ils sont quand même allés vérifier auprès d’avocats spécialisés. 

Pour l’instant, Weeleo ne propose que l’échange entre euros et pounds, histoire de faire grossir sa communauté. Mais la demande est forte et bientôt ils ouvriront leur service à d’autres devises, échange euro/dollar sans doute.

Qui sont-ils ?

Quatre amis de Laval ( c’est une ville en Mayenne ) (si si c’est en France) (y’a des vaches), 25 ans et des profils plutôt diversifiés. Leur point commun ? Avoir beaucoup voyagé : Nouvelle-Zélande, Etats-Unis, Asie, etc. et s’être parfois retrouvés dans des situations cocasses ( à Séoul on te rend la caution de ton appart en liquide, tu es donc soudain millionaire… en Wons )

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Après avoir monté plusieurs boites avec plus ou moins de succès, Raphaël, Lyrod, Adrien et Adrien (les deux dév, Lavallois aussi, absents de la photo) se sont vraiment concentrés sur Weeleo, qui a été accueillie au sein de l’incubateur Paris Incubateur de la Mairie de Paris.

Et l’appli, elle est comment ?

She is a good girl, you know. Simple. Efficace. Jolie. Pas de boutons inutiles. Prise en main immédiate. 

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Donc voilà, c’est plutôt très bien tout ça. Sortie lundi, il y a déjà plusieurs centaines de profils, qui souhaitent aussi bien échanger des euros que des pounds, perfect !

Vous pouvez la télécharger ici, Android arrive bientôt.

P.s : L’équipe de Weeleo, c’est 4 start-upers prometteurs, qui cherchent à développer leur projet via des partenariats sites de voyages, économie collaborative, finance, etc. Y’a pleins de choses à faire !

Contact : Raphael Dardek sur Skype.

**GASOIL NOW** aux TechDays, REPORTAGE PHOTO !

” Et donc il faudra que tu montes sur scène devant 4000 personnes pour faire  un discours et remercier Microsoft”, me dit mon boss à 4h du matin hier sur Skype.

(Il est aux Etats-Unis mais le décalage horaire n’est pas un concept qu’il conçoit, il est TOUJOURS connecté) (et m’appelle de préférence quand … bref )

Et pourquoi faire un discours ? 

Car aujourd’hui, à l’occasion de la cérémonie des Windows Apps Awards, notre application ** GASOIL NOW ** a été récompensée au titre de Meilleure Appli catégorie Développeurs Indépendants. 

Clap clap, on était trop contents

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Et on a gagné ça,

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En fait la cérémonie des Windows Apps Awards avait lieu à l’occasion des Tech Days, qui est un peu l’un des plus gros rassemblement de développeurs et de solutions techs en Europe. Un monde de geek s’ouvrait à moi, et j’ai réussi à en capturer quelques instants, en exclusivité pour vous. 

Sotchi c’est surfait, moi je vais aux…

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Concrètement, les Tech Days ce sont des stands, avec des gros noms du web qui présentent leurs solutions outils, office, pour la maison, tablettes, devices, etc. 

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Aux Tech Days, tu peux te cultiver pour essayer de devenir maître du monde,

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Voire même, trouver l’amour !

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Ou plus simplement, tomber sur de vieux copains de collège ! (Merci à toi Vincent pour l’organisation !)

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Voilà pour aujourd’hui mes agneaux, merci à tous ceux qui soutiennent l’aventure 03 July depuis le début, et aux doigts de fée qui nous mettent en avant, souvent spontanément, chez Microsoft, Nokia ou Windows Phone !

Mahaut